Ebbinge Wubben, J. C. et Nicolson, Benedict
Le choix d'un amateur éclairé -oeuvres de la collection Vitale Bloch provenant du musée Boymans-van Beuningen
Liste des ouvrages

Vermeer suivi de L'éloge de Thoré-Bürger
Bloch, Vitale
Quatre Chemins - Editart, Paris, 1966.
In-12, broché sous couverture rempliée, 57 pp.
Avec 9 illustrations "pleine page" en noir et blanc en hors-texte.
Un des 1025 exemplaires de la première édition.
Bon état.
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Avant-propos - Vermeer van Delft - Aperçu chronologique - Eloge de Thoré-Bürger - Table des illustrations.
Cet ouvrage a été édité à l'occasion du cent cinquantième anniversaire de la fondation du Cabinet royal des peintures (Mauritshuis) à La Haye.
L'étude sur Vermeer est d'abord parue en italien, suivi d'un catalogue raisonné de l'oeuvre de Vermeer, à Milan, chez Rizzoli, en 1954. L'éloge de Thoré-Bürger, le second texte qui compose ce recueil, a été ajouté à la version française.
Collectionneur, historien d'art et marchand de tableaux, Vitale Bloch (1900-1975) a légué sa collection de tableaux au musée Boijmans-van Beuningen de Rotterdam. Il découvrit les Pays-Bas en 1924 et devait se fixer dans ce pays quelques années plus tard, tandis que Paris resterait sa "seconde patrie". La séduction qu'exerçait sur lui les petits maîtres de la peinture hollandaise ne l'empêcha pas de placer au dessus de tout Rembrandt et "la lumière de Vermeer."
Son Eloge de Thoré-Bürger, le découvreur de Vermeer, doit également s'entendre comme un éloge indirect de Hermann Voss, le découvreur de Georges de La Tour, avec lequel le jeune Vitale Bloch était entré en contact à Berlin, après avoir quitté Moscou au début des années vingt.
L'étude sur Vermeer est d'abord parue en italien, suivi d'un catalogue raisonné de l'oeuvre de Vermeer, à Milan, chez Rizzoli, en 1954. L'éloge de Thoré-Bürger, le second texte qui compose ce recueil, a été ajouté à la version française.
Collectionneur, historien d'art et marchand de tableaux, Vitale Bloch (1900-1975) a légué sa collection de tableaux au musée Boijmans-van Beuningen de Rotterdam. Il découvrit les Pays-Bas en 1924 et devait se fixer dans ce pays quelques années plus tard, tandis que Paris resterait sa "seconde patrie". La séduction qu'exerçait sur lui les petits maîtres de la peinture hollandaise ne l'empêcha pas de placer au dessus de tout Rembrandt et "la lumière de Vermeer."
Son Eloge de Thoré-Bürger, le découvreur de Vermeer, doit également s'entendre comme un éloge indirect de Hermann Voss, le découvreur de Georges de La Tour, avec lequel le jeune Vitale Bloch était entré en contact à Berlin, après avoir quitté Moscou au début des années vingt.